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Fabien Cador part en Live : Baths au Point Éphémère

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Fabien Cador part en Live : Baths au Point Éphémère
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Toujours en quête de bon son, notre reporter musicale Fabien Cador, nous raconte son expérience au dernier concert de Baths, samedi 17 mars au Point Éphémère.

Photo de l’article : Mario Luna

La musique de Will Wiesenbeld, plus connu sous son nom d’artiste Baths, est difficilement catalogable car elle flirte avec plusieurs styles. Si nous devions faire une analogie, nous la ferions avec l’atmosphère d’un film Ghibli. Elle est pleine de vie, complexe, sautillante et faite de haut et de bas.

Je me souviens du coup de cœur immédiat que j’ai eu pour le titre Animals, qui accompagnait une des vidéos de YAK Films en 2010. J’ai par la suite découvert sa maîtrise totale de la MPC et son univers live fait d’effets aux résultats imprévisibles, mais qu’il arrivait à dompter sans la moindre peine. Prenons l’exemple de ce magnifique set au Boiler Room et de son remix ultra pêchu de Move On du groupe Lali Puna.

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Il revient avec Obsidian en 2013, accompagné d’un nouvel acolyte, Morgan Greenwood. Fini les lives tout MPC. Place aux claviers, à la guitare et autres boîtes à rythmes. Sa musique est plus sombre, moins « optimiste«  que sur Cerulean.

En novembre dernier est sorti Romaplasm, un EP moins dark mais toujours joué en live à 4 mains.

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Un concert qui réchauffe !

Il fait froid. Très froid, la neige ayant recommencé à tomber sur Paris. Dans la salle, peu avant le concert, nous croisons Will et Morgan, thé fumant à la main et bonnets bien enfoncés sur la tête. Ils nous apprendront à la fin de leur live, les difficultés rencontrées pour venir jusqu’à la salle : problèmes de transports, obligés de marcher avec tout leur matériel plusieurs kilomètres sous la neige, etc.

Le plan de scène paraît étrange au premier abord. Un tiers de cette dernière est occupé par leurs machines, un simple pied de micro occupant les deux tiers restants. Le show commence et la disposition prend tout son sens. Will est une pile électrique, improvisant des danses complètement épileptiques sur les effets lancés par Morgan. On en craint presque qu’il se blesse, mais non, tout est parfaitement maîtrisé. Il est à l’aise avec le public, rembarre en se marrant d’un « Dude, we don’t take request! » à un mec insistant pour entendre Animals, et lance même de manière impulsive et fier un « Y a-t-il des gays dans la salle?! », avant de sourire en expliquant que c’était peut-être un peu gênant de lancer ça en plein milieu d’un show, même si beaucoup n’hésitent pas à se manifester. L’ambiance atteint son summum lorsque la basse binaire et efficace de Ocean Death se fait entendre. La salle prend tout à coup des allures de rave face au titre le plus electro de Baths. Puis l’ambiance se relâche petit à petit jusqu’à la fin du concert, nous laissant un peu sur notre faim après avoir autant bougé. Petite surprise tout de même, l’arrangement de Plea, un des morceaux phare du premier EP joué façon unplugged.

Malgré ce « coup de mou » sur la dernière partie, Baths aura détendu l’atmosphère, nous aura fait rire et nous aura, surtout, vraiment réchauffé en cette froide soirée de mars.

Dernière surprise agréable : apercevoir une étudiante sortie l’année dernière de Réalisation Sonore s’occuper du plateau du Point Éphémère !

Dans le même style : Lali Puna, GroundIsLava, D33J, Sylvan Esso

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