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Portrait #MadeInEICAR : Naomi Hanian

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Portrait #MadeInEICAR : Naomi Hanian
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À la recherche d’une formation complète aux métiers de l’acteur, Naomi Hanian partage son expérience à l’EICAR à quelques semaines de sa rentrée en 2e année.

J’ai découvert EICAR de façon peu originale : via internet. Et même si on entend souvent dire qu’on ne doit pas se fier aux sites, je dois avouer que j’ai senti une sorte d’onde agréable en découvrant le site… C’est comme s’il dégageait l’atmosphère de l’école. Tout y était : le théâtre, le cinéma, le chant, la danse et l’ouverture internationale. Et aujourd’hui, je peux dire avec certitude que mon intuition ne m’avait pas fait faux bond !

J’ai passé l’audition et j’ai intégré la formation Actorat.

À l’EICAR, j’ai trouvé ce que je cherchais : une immersion dans la création et la recherche d’une sincérité, dans une ambiance très chaleureuse et bienveillante.

© Gálata Villate

Chaque cours était là pour repousser nos limites, autant physiques que mentales, que chacun d’entre nous avait dans tel ou tel domaine —art dramatique, diction, expression corporelle, danse, chant, jeu face à la caméra. Ce processus avait pour but de nous faire prendre conscience de notre potentiel, et tout simplement de nous ouvrir sur nous-mêmes. Du moins, c’est comme ça que je l’ai vécu.

Le programme de l’année a été rythmé par de nombreux examens (ouverts aux autres étudiants d’Actorat et aux professeurs), qui visaient à montrer les étapes de notre travail, tout en faisant découvrir nos personnalités. À côté des cours, nous étions souvent invités à participer aux exercices de tournage des étudiants en Réalisation cinéma et télévision, afin de tenter une première approche de la caméra.

J’ai appris à me connaître un peu mieux, à exprimer plus clairement ce que j’ai à dire, tout en aiguisant mon sens critique, à essayer, réessayer, et essayer encore… J’ai commencé à assumer qui je suis, en tant que jeune femme, artiste et mère.

J’ai compris que la peur n’est pas forcément un obstacle, que je suis la seule responsable de mon avenir, et que sans une grande honnêteté et une fidélité à moi-même, je n’arriverai pas à grand-chose…

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Nos professeurs nous guident “dans” et “vers” notre autonomie. Il arrive qu’ils nous aiguillent vers telle ou telle direction, mais à aucun moment ils ne diront “ça, c’est la bonne solution”. Si quelque chose ne va pas, ils sauront nous le faire comprendre, afin qu’on puisse trouver une issue à notre problème.

Ils sont là pour nous inspirer, et nous sommes là pour pouvoir, peut-être, les inspirer à leur tour. Mais je dois noter qu’ils font preuve d’une grande bienveillance, et je dirais même, d’un grand amour à notre égard. C’est touchant de pouvoir sentir la foi qu’ils peuvent avoir en nous. En tout cas, quand j’ai un soucis et que j’ai besoin d’en parler pour le résoudre, ils sont toujours là pour moi.

Avant d’entrer à l’EICAR, j’ai suivi deux formations d’art dramatique : la première à Agen, au Théâtre du Jour ; et la seconde à Londres, à LAMDA. Et au bout de ces deux ans, je m’étais dit que le théâtre n’était pas vraiment ce que je souhaitais pour mon avenir.
À l’inverse, n’ayant pourtant aucune expérience en tournage à l’époque, j’étais persuadée de vouloir faire du cinéma mon occupation principale.

© Gálata Villate

Après un an dans la formation Actorat, avec la palette de disciplines qu’on avait à notre portée, j’ai compris que je ne voulais plus me restreindre. Je ne VEUX plus me restreindre. Il y a tellement de belles choses à faire et à vivre, alors pourquoi se limiter ?

Après l’école, je compte saisir toutes les opportunités possibles. Et rien ne me dit que je dois attendre la fin de mes études pour commencer à me préparer. Pour être absolument franche, j’ai déjà quelques “projets” qui sont en cours d’écriture… Une chose très importante qui a marqué mon année, c’est les rencontres que j’ai faites. Et je suis persuadée qu’au moins certaines d’entre elles peuvent mener à de futures collaborations professionnelles… Affaire à suivre !

 J’ai une très forte envie de créer, donc j’espère pouvoir mener à bien les idées qui me tiennent à coeur.

 

Passionnée et après 1 an au sein de la formation Actorat de l’EICAR, Naomi Hanian essaie d’exploiter tous les moyens possibles pour faire face à l’obstacle financier, et aller au bout de ses études et de son rêve.
Elle a récemment lancée une campagne de financement participatif pour lui permettre de poursuivre sa formation : http://ow.ly/wmA150vbccr

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